Wonder Women !
Par Shana Devleschoudere
Le Dragon fut élevé entre 1972 et 1975 par Niki de Saint Phalle,
avec l’aide du suisse Jean Tinguely, son mari, dans la propriété de Roger Nellens au bout de l’avenue du
Zoute, où l’oeuvre peut toujours être admirée. Elle avait été conçue pour servir de maison de jeux et devint
une immense oeuvre d’art, dont Keith Haring contribua à décorer l’intérieur.
Le Dragon fut élevé entre 1972 et 1975 par Niki de Saint Phalle, avec l’aide du suisse Jean Tinguely, son mari, dans la propriété de Roger Nellens au bout de l’avenue du Zoute, où l’oeuvre peut toujours être admirée. Elle avait été conçue pour servir de maison de jeux et devint une immense oeuvre d’art, dont Keith Haring contribua à décorer l’intérieur.
Héroïnes, parfois méconnues du grand public, certaines de leurs actions ont changé, amélioré ou agrémenté la vie de milliers de personnes, au quotidien. Et ce, souvent dans des temps où la Femme était considérée comme
Que serait notre petit paradis gourmet Zoutois sans Moeder Siska, la Mère babelutte ou Irma ? Et comment aurait évolué la station si Suzanne Lippens, la mère du regretté Bourgmestre Leopold Lippens, n’avait pas été cette femme libre et forte, pionnière de l’aviation en Belgique et inspiratrice de feu l’aérodrome de Knokke ? Ceci, sans parler de Félicie-Cornet de Mercx dont la pugnacité fut récompensée par la création de Duinbergen. Ou encore Nicky de Saint-Phalle et Germaine Brachot à qui l’on doit l’éclosion significative du secteur de l’art, à Knokke, qui compte aujourd’hui quelque 80 galeries…
© Mahé Elipe/P.O.L 
A Knokke-Le-Zoute, l'iconique et l'architecture se marient harmonieusement. Découvrez l'évolution contemporaine de cette cité balnéaire dans le nouveau magazine Zoute Paper, édition de printemps, dont le thème est « Iconic place to sea ». Ou quand la modernité se mêle à l'héritage traditionnel. 
Dans un monde où l'anglais règne en maître, une petite voix s'élève pour défendre la préservation du français. Entre abréviations et néologismes omniprésents, ce plaidoyer explore l'impact de cette évolution linguistique sur la communication et sur notre culture. 
À travers deux films seulement, "Girl" et "Close", Lukas Dhont a exploré avec sensibilité des thèmes universels, transmettant un message d'humanisme et de tolérance. Son impact sur la scène cinématographique est indéniable, faisant de lui un Leader Artistique dont l'influence dépasse nos frontières. 